En 2008, le village de Saint-Pierre-de-Frugie (Dordogne, 400 âmes) mourait tranquillement, comme tant de petits villages de France. Suite à la fermeture de l’école et du dernier bistrot, Gilbert Chabaud, maire du village, a décidé de prendre les choses en main en misant sur l’écologie et la qualité de vie.
Après avoir incité à la suppression des pesticides et organisé des ateliers en permaculture, la commune a rénové son petit patrimoine puis a ouvert pas moins de 9 sentiers de randonnées, notamment grâce au rachat des zones humides environnantes. Le tourisme découlant de ses initiatives a permis l’ouverture d’un gîte rural et le retour du bistrot pour loger et nourrir les randonneurs. Puis le cercle vertueux a entrainé la création d’une épicerie bio et la réouverture de l’école.
Amis randonneurs, cet exemple démontre à quel point nous avons l’avenir de nos campagnes dans les pattes.
Source : Good Planet